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Carnaval : venez nous rejoindre

La ville invite tous ceux qui souhaitent à rejoindre les carnavaliers déjà inscrits pour le carnaval du Croisic le samedi 14 avril au soir pour le bal et le dimanche 15 avril pour le défilé sur les quais. Pas de thème imposé, costumes libres, chars acceptés avec enthousiasme. Contact à la mairie Laure Brechet 02 28 56 78 50 ou l.brechet@lecroisic.fr

 

 

 

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3 septembre 2009 4 03 /09 /septembre /2009 20:58

Mécontentement chez les paludiers
L'INAO..... NO


Je suis Pascal DONINI, Président de PSR-FA, membre du collectif IGP NON MERCI, mais là je suis en colère, et je m'exprime en mon nom propre.

 

Nous avons essayé d’utiliser votre langage en vous soumettant une opposition dans une logique d’intérêt général, mais nous n’avons pas eu de réponse. Donc aujourd’hui je parle avec mon langage de paludier.

 

Parler ainsi c’est d’abord dire que la date de cette réunion est un coup bas.

Et ce n'est pas le premier, il y a eu

- le début de la PNO l'année dernière en plein mois d'août, sans publicité,

- la réunion de lancement le 30 juin

- et la toute première réunion d'information le 12 juillet 2007.

Et en hiver... jamais rien malgré nos courriers.

 

C’est la technique des mauvais gouvernements que de faire passer les réformes pendant que l’opposition est indisponible.

 

Pour nous l'IGP, ça commence là : on se fait broyé par une procédure inflexible et ensuite on se fera broyer par une poignée de concurrents amers qui s’appuieront sur le cahier des charges.

 

 

Et tout ça pour aller vers quel modèle?

-          Celui des produits calibrés, aseptisés, soit disant zéro défaut mais en fait zéro qualité.

-          Celui des exploitations sur-controlées à grand frais de cabinet de certification et au prix d’une paperasse extravagante.

-          Celui des producteurs déresponsabilisés derrière des cahiers de charges et derrière un conseil d’administration qui fait miroiter un avenir idyllique pour mieux faire oublier les erreurs du passé et les dérives hégémoniques.

 

Ce modèle, les producteurs de fruits et légumes l'ont suivi avant nous et, aujourd'hui, ils cherchent où vont leurs marges.

Les produits laitiers sont très chers pour le consommateur. En plus en tant que citoyen, il paie des impôts pour que le producteur de lait perçoive des subventions. Et ce même producteur de lait est au bord de la faillite.

Nous ne voulons pas monter dans cette galère, nous ne voulons pas nous approcher de ces usines à gaz qui asphyxient la petite agriculture.

Nous ne voulons ni ne pouvons financer des engins qui ne rendront pas notre sel meilleur.

 

 

Si les cribleuses rutilantes procurent de la satisfaction à nos concurrents, nous, ça nous en touche une sans faite bouger l'autre.

Notre fleur de sel ne sera jamais chauffée, il est scandaleux que celle des protagonistes de l'IGP le soit, et ce simplement pour qu'elle puisse circuler dans leur chaîne de conditionnement industrielle. Nous ne sacrifierons pas la qualité de nos produits sur l'autel de l'industrialisation.

 

Il y a sur le marais un seul paludier à faire du sel sur une bâche plastique. Vous le trouverez où ? Au bureau de leur pseudo-ODG.

Nous ce genre, d'artificialisation nous fait vomir, nous ferons toujours notre sel sur de l'argile. Nous lutterons toujours contre la boulette d'argile mais nous ne céderons pas à la tentation de l'extermination par une artificialisation aussi onéreuse que destructrice de la vraie qualité de notre sel.

 

Nos concurrents vendent leurs âmes de paludiers, soit, qu'ils ne vendent pas le nom de notre sel avec. Laissez-nous continuer à appeler notre sel "sel de Guérande".

 

 

Enfin, il y a le contexte, vous avez remarqué qu'il n'y a aucune opposition parmi les 150 adhérents revendiqués par la prétendue ODG?

Même Kim Jung-il n'a pas l'indécence d'afficher une telle unanimité.

Pourtant, il y en a des opposants, ce ne sont pas tous des moutons.

Pourquoi les opposants ne s'expriment-ils pas? Tout simplement parce qu'ils sont tenus par les... enfin par la bourse.

Je n'ai pas l'intention de finir comme eux. Adhérer à cette pseudo ODG, ça reviendrait à leur apporter mes « corones » sur un plateau. Je sais trop bien ce qu'ils en feraient, ils les passeraient dans leurs vis sans fin surpuissante, et je ne terminerais pas debout.

 

Cette hydre est insaisissable,

le président officiel n'est qu'une potiche aussi sympathique qu'incompétente pour ce qui nous concerne. Il n'a pas été capable d'obtenir son diplôme de paludier après la formation.

Cette hydre présente aussi un faux nez : ils se présentent comme défendant l’artisanat, hors ce sont les moins artisanaux du marais.

Cette hydre utilise un faux prétexte : celui de la protection de l’origine contre les fraudes. L’IGP n’est pas la solution à un problème qui n’existe pas encore.

 

 

C'est intentionnellement que je me mets en colère devant vous, gens de l'INAO.

Mon association vous a envoyé une lettre de demande d'explication en février 2008, pour éviter la situation où nous sommes aujourd'hui. Cette lettre n'a jamais reçu de réponse.

Nous avons rédigé une opposition de 11 pages. Nous n'avons pas de réponse.

Aujourd'hui, vous nous imposez cette réunion un 3 septembre.

Vous vous posez en arbitre alors que je ne pense pas que l'on puisse être à l'INAO sans être favorable au SOQ en général. Et c'est votre droit, et vous avez aussi le droit d'essayer de me convaincre.

Mais il va falloir faire fort parce que deux chercheurs au CNRS Bérard et Marchenay ont démontré ce que nous anticipons empiriquement : les SOQ aboutissent à l'exclusion de la petite agriculture et à l'abandon des pratiques traditionnelles.

 

Personnellement, je continuerai à appeler mon sel "Sel de Guérande" jusqu'à ce qu'une décision de justice m'impose personnellement d'arrêter, mais je vous promets que j'utiliserai tous les recours, et les IGP n'en sortiront pas grandies.

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17 avril 2008 4 17 /04 /avril /2008 10:50

 

Les Amis des Collectifs Marée Noire, le Collectif Citoyen anti-marée noire de Saint Nazaire, les associations Eaux et Rivières de Bretagne et Natur-action 

 

 

COMMUNIQUE DE PRESSE 

 

Pour en finir avec les marées noires

Le 15 avril 2008

 

Près d'un mois après le désastre survenu le 16 mars à la raffinerie Total de Donges au cours du chargement en pétrole d'un bateau, les associations souhaitent s’exprimer de nouveau et sollicitent comme elles l’avaient fait au lendemain de cette pollution, une audience auprès du Préfet, sur la base des constats relevés et des exigences qu’elle entraîne.

 

En effet, il semble bien, au regard notamment de la presse de ces derniers jours, que des zones de non dits sont encore à découvrir. Tout laisse penser qu'une fois encore, on cherche à minimiser cette nouvelle pollution en Loire et ses conséquences. Des défaillances de Total semblent évidentes. Pour les associations bien des questions restent aujourd’hui latentes, alors que nous sommes sur un site classé Seveso.

 

Premièrement : comment est-il possible que nous ne sachions pas encore quelle a été la quantité de produit dispersé dans la nature ; comment croire qu'une livraison à caractère commercial se réalise sans compteur ?

Deuxièmement : pourquoi ne savons-nous pas quels ont été les délais de prévenance par Total des autorités et quelles ont été exactement les premières mesures prises ?

Troisièmement : comment est-il possible qu'on ait laissé en l'état la situation qu'on nous explique ? Ce serait le goutte à goutte d'un tuyau d'eau qui aurait corrodé puis provoqué une fuite sur une canalisation datant de la fin des années 60 mais transportant des grosses quantités de pétrole…

 

Pour toutes ces raisons et bien d'autres, les associations avaient demandé qu'une instruction judiciaire soit ouverte ; cela étant fait, elles s’en félicitent.

 

Par principe, régler la facture des réparations comme semble le faire Total ne peut pas permettre de se soustraire à la justice. En effet, la loi dispose que les responsables de l'entreprise doivent mettre en oeuvre les mesures pour éviter les risques, évaluer les risques qui ne peuvent être évités et combattre les risques à la source. Cela a-t-il été le cas dans cette affaire ? Les riverains de l'estuaire de la Loire et tous les citoyens doivent savoir la vérité sur les faits et les responsables doivent être jugés et sanctionnés si des fautes ont été commises. Tous les préjudices doivent être pris en compte et réparés

 

Pour les associations, la responsabilité de l’Etat est engagée, son désengagement ne doit pas se heurter à de prétendues impossibilités financières, elles attendent de lui qu’il se donne les moyens de contrôler la mise en oeuvre des mesures de prévention des risques pour tendre à les supprimer et pour réparer les dégâts commis en cas d'accident. Le pétrole est un produit avec un risque cancérigène, pourtant nous constatons que les mesures de protection collectives et individuelles, d'hygiène, de surveillance médicale et de formation ne sont pas satisfaisantes pour les centaines de salariés qui nettoient l'estuaire malgré les enseignements du nettoyage de l'Erika. Ce sont l'Etat et la collectivité publique qui doivent diriger et orienter les opérations de dépollution tant au regard des normes de sécurité pour les opérateurs qu'au regard des normes environnementales. Toutes ces opérations doivent être réalisées sous le contrôle des organisations des salariés, des professionnels de la pêche et du tourisme et des collectivités territoriales d'une part et d'autre part des associations de protection de l'environnement et notamment les associations qui connaissent bien l'estuaire de la Loire. Dans ce cadre, nous demandons également que le Comité Local d’Information et de Concertation (CLIC) se réunisse. 

 

Contact pour les associations : Christian Hazebrouck 06 08 54 41 04

 

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14 mars 2008 5 14 /03 /mars /2008 12:22
 COURRIER DES LECTEURS

à l'attention de nos lecteurs

 Nous publions ce jour le courrier signé et identifié d'une lectrice, nous signalons également qu'il s'agit d'une ultime publication concernant les municipales. Nous avons invité chaque candidat à nous fournir un communiqué avant le deuxième tour qui se déroule ce dimanche. Tous nous l'ont fait parvenir, chaque communiqué a été publié in extenso. En ce qui concerne la lettre de notre lectrice, sa publication a été suspendue jusqu'à l'ulime moment afin de donner à Mme Michèle Quellard l'occasion de bénéficier d'un légitime droit de réponse (voir copie de notre mail ci-après) Nous n'avons pas reçu de réponse et avons estimé qu'il était normal de publier cette lettre puisqu'elle fait état d'une opinion et qu'elle est conforme aux régles et au code de déontologie en vigueur dans la profession de journaliste. Nous rappelons que le contenu des communiqués et des courriers relève de la seule responsabilité de leur (s) auteur (s)

Nous signalons enfin que d'autres avis ou commentaires par téléphone en numéro caché ont été reçu à HIPPOCAMPEINFO2, la plupart anonymes et certains injurieux ou même menaçants. Signe évident que la liberté d'expression n'a pas que des amis!
 

Il fallait que celà fut dit, il fallait que cela se sache






10/03/2008
 
Madame Quellard,
 
Bravo vous avez remporté une première bataille !
 
Vous ou votre équipe ? Car ensemble vous avez su distribuer des chocolats et autres gâteries aux personnes âgées. Parfois même à ces moments vous étiez accompagnée par celui-là même qui vous a « adoubée ».
 
 A chaque réunion publique d’un de vos concurrents vos émissaires ont perturbé ces réunions, et en ont fait un combat déloyal et non constructif. Les attaques ont été nombreuses, de mauvaise foi et hargneuses. Vos concurrents ont eu à votre égard une attitude bien plus respectueuse lors de toute cette campagne et lors de vos réunions publiques. A ce propos je vous demande de m’éclaircir sur un point : connaissez-vous vos dossiers ? En effet, j’ai assisté à une réunion publique et à une interview sur une radio locale. Vous avez certes une diction parfaite due sans aucun doute à votre expérience théâtrale, c’est indéniable. Mais il ne suffit pas de lire un programme bien écrit ou de le savoir par coeur (en reprenant les lignes des programmes concurrents) pour être maire.
 
Votre interview n’en a pas été une, c’était un monologue, vous avez pris la parole sans attendre les questions du journaliste : il est effectivement plus facile de lire que subir un interrogatoire qui peut être déstabilisant. Quant à votre réunion je m’étonne que vous ne puissiez répondre à toutes les questions vous-même et que vous soyez dans l’obligation de laisser la parole à vos colistiers. Mais au fond qu’est-ce que cela change? Que ce soit eux ou vous il n’y a aucune réponse claire et précise. Tout est vague « oui nous avons réfléchi à ce problème, c’est une question que nous devons envisager, etc… »Toute question embarrassante telle la fourrière et le refuge pour animaux, telle les campings cars , ou la pollution des côtes par désherbants, insecticides ou déjections animales est totalement éludée dans un flou artistique.
 
Non, Madame, un mandat de maire ce n’est pas du théâtre, ce ne sont pas non plus des administrés que l’ont peut acheter et leurrer, ce ne sont pas des promesses que l’on avance en sachant qu’elles ne pourront être tenues. Votre attitude et celle de votre équipe envers « la chose publique » m’inquiètent. Le Croisic mérite autre chose que des personnes avides de pouvoir pour le pouvoir. Après une période d’embellissement, j’ai vu  Le Croisic se dégrader au fil des ans tel un navire sans capitaine où l’équipage devient alors maître et compagnon. Je crains que l’avenir que vous nous préparez  soit un avenir sombre fait de surendettement pour des projets irréfléchis, fait de promesses qui ne pourront être tenues, fait de décisions prises à l’emporte-pièce et de l’hégémonie d’une administration . Votre campagne menée certes avec le soutien d’un député, a été une campagne déloyale,  où les membres d’une équipe avide de pouvoir n’ont eu d’autre  programme que des promesses et le souci d’écraser les concurrents.
 
Je ne vous écris pas en tant que partisane invétérée d’un candidat concurrent, je n’ai ni la prétention d’être « donneur » de leçons, ni le souhait d’être désobligeante comme vos supporters Je voulais simplement vous faire part des inquiétudes d’une croisicaise d’adoption depuis plus de 20 ans, vis-à-vis d’une petite cité de caractère, qui ne doit devenir ni un musée, ni une mégalopole, ni un terrain d’expérimentation pour élus en mal de pouvoir.
Il reste un deuxième tour à ces élections municipales, si (par malchance) vous êtes élue je serai vigilante et attentive à la gestion que vous et votre équipe effectuerez de notre commune.
 
 
DANIELE BLEUZEN
 
La rédaction a écrit à Michèle Quellard : jeudi 13 mars
 
à Michèle Quellard
liste "Le Croisic, une passion, un avenir"
 
je vous remercie de bien vouloir me faire savoir si vous envisagez d'user de votre droit de réponse par rapport à l'envoi, pour parution sur notre site Hippocampeinfo2, de la lettre ouverte de Mme Danièle BLEUZEN
 
Sachant que nous publions cette lettre dans la rubrique courrier des lecteurs, au plus tard demain fin de matinée
 
vous remerciant par avance pour votre réponse accompagnée éventuellement de votre texte qui ne doit pas excéder le volume du courrier d'origine et rester conforme au code de déontologie en vigueur dans la profession.
 
 
 
Réponse de Michèle Qellard :
 
La candidate n’a apporté aucune réponse
 
Note de la rédaction : nous rappelons que nous avons proposé aux différents candidats de pouvoir s'exprimer sur nos pages d'informations que ce soit dans le cadre des élections municipales ou cantonales. Leurs communiqués sont répertoriés en rubrique LIBRE EXPRESSION. Ces communiqués et les arguments qui sont développés n'engagent que leurs auteurs.
 
 Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontières."
- Article 11-1 de la "
Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne". 2000/C 364/01. Nice, le 7 décembre 2000
 
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5 juillet 2007 4 05 /07 /juillet /2007 17:51
UBU toujours roi ! ou comment faire des économies qui coûtent cher
 
Nous ne résistons pas à vous faire profiter du courrier d’un lecteur, Ubu est bien toujours roi et le paradoxe devient un art !
 
Marc nous écrit :
 
L'hiver a été doux, nous avons moins chauffé. Dans mon établissement, l'économie est de 2000€.
Mais EDF nous a fait savoir qu'en fonction de notre contrat, notre consommation avait été insuffisante. En conséquence nous écopons d'une amende de 2100€.
 
Moralité: économisez, vous paierez plus!
 
Plusieurs établissements sont dans ce cas, la réponse à EDF sera globale.
Vive l'éducation à l'environnement et au développement durable!
 
 
Si vous aussi vous connaissez des situations ubuesques, n’hésitez pas à nous le faire savoir en envoyant vos remarques sur le courriel : hippocampeinfo2@wanadoo.fr
Nous en ferons l’écho.
 
 
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