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Laufenburg-Le Croisic à vélo :
1000km pour le peloton franco-allemand
12 Piste 12 Les longs courriers (Dégats D'chez Nous 2010) cliquer sur le lien pour jouer la musique
L’aller avait eu lieu en 2007 sur 5 jours, le retour se fera en 6 jours sous le signe de l’amitié franco-allemande puisque des cyclistes de Laufenburg vont se joindre aux Croisicais pour effectuer un parcours de 1000 km
Le départ du Croisic se fera en minibus le vendredi 3 septembre et c’est le 5 au matin que débutera le parcours sportif avec 5 coureurs français, 7 allemands, le minibus avec deux personnes assurant le ravitaillement et un camion des pompiers de Laufenburg qui rapatriera ensuite les vélos allemands
3 pays vont être traversés : l’Allemagne, la Suisse, la France, soit 11 départements .Les étapes prévues sont Vesoul : 169km, Essey : 148km, Assigny : 163km, Azay sur Cher : 159km, Trémentines : 143km et le Croisic : 170km
« Cela fait des mois que tous s’entrainent pour tenir ces 6 jours sur la selle.
A chacune des étapes, le comité de jumelage mènera une campagne de sensibilisation au profit de l’association France ADOT pour le don d’organes et de tissu humain. » souligne Bernard Guitton
Toute une logistique s’est mise en place sous l’impulsion du président du Comité de Jumelage Bernard Guitton : chercher puis retenir les hébergements, prévoir l’itinéraire, rechercher des aides auprès des artisans et commerçants de la Presqu’Ile .Ceux–ci ont d’ailleurs bien soutenu cette manifestation qui ne peut que renforcer les liens déjà existant entre les deux villes, avec bien sûr l’aide de la municipalité croisicaise qui réserve un chaleureux accueil au groupe le 10 septembre.
L’arrivée à Laufenburg en 2007 avait été grandiose. Au Croisic, on peut espérer qu’il en sera de même, venez tous accueillir le groupe devant la gare le vendredi 10 septembre à 17 h 30, pour les accompagner jusqu’à l’Hôtel de Ville où une réception en leur honneur est prévue.
Un véritable dépaysement pour les deux croisicais qui passent ainsi de l’animation estivale croisicaise « Un soir sur les quais » à une manifestation d’envergure internationale « Une expérience enrichissante et passionnante par la découverte de tourneurs venus des quatre coins du globe avec des répertoires différents, des orgues de barbarie de tous styles, ce sont de rencontres avec des contacts pour de futures prestations éventuelles et ce sera aussi la découverte du pays puisque nous partons sept jours avant l’évènement qui se déroule en fait du 17 au 19 septembre » précise Raoul qui se voit déjà dans les Carpates avec son petit camion. D’autant qu’après ce séjour, d’autres rendez-vous sont déjà inscrits sur l’agenda avec notamment le festival de Varilhes en Ariège et celui de Quintin dans les Côtes d’Armor en novembre.
Claude Lelouch réalise là un film conforté par des acteurs en parfaite osmose avec son expression intime, un film vécu plus qu’interprété avec la présence marquante de la ravissante Audrey Dana « qui porte le film », avec le talent révélé de Laurent Couson (pour le première fois devant la caméra)qui signe également une partie de la musique. « Le talent du réalisateur n’existe que par le talent des acteurs » précise Claude Lelouch qui à chaque film révèle de nouveaux acteurs tout en faisant tourner les plus grands noms du cinéma. Lelouch se nourrit de l’histoire des hommes, de sa propre histoire, pour narrer des tranches de vie qui interpellent chacun d’entre nous, car ce qu’il filme nous le vivons « La caméra est sur les êtres comme jamais, avec beaucoup de gros plans qui alternent avec des plans élargis où le spectateur regarde là où il a envie » Chapeau Monsieur Lelouch, pour votre cinéma humain où les sentiments et la musique se parent d’une couleur à nulle autre pareil, où les scènes plus violentes prennent allure de tableaux, où la musique est sublimée beaucoup plus présente qu’une simple ponctuation, où l’amour se décline comme sur une partition avec son tempo qui épouse et souligne les geste de la vie.
C’est une figure locale qui disparaît. Jean Auffret aura eu toute sa vie un parcours atypique et exemplaire, dont les étapes jalonnent et épousent étroitement la vie de la cité. Après des études de prothésiste puis un passage dans l’hôtellerie c’est de son union avec Jeanine, sa femme, que se développera la grande histoire de sa vie tant sur le plan personnel que professionnel. Sur ces deux chapitres c’est avec conviction, force et courage qu’il trace son destin.
La sculpture mais surtout ses talents d’écrivain révèle l’humanisme du personnage puise ses sources dans un parcours peu commun, de sensibilité et d’origine haïtienne ( son père était français, sa mère native de l’île secouée récemment par le destin) et son enfance passée pour une part sur le continent africain, Michèle Sébal avec son arrivée en France où elle a forgé son destin est multiculturelle, intensément femme, sensible aux gens et aux choses, infiniment