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Chapelle saint Marc de Kervalet
« L’art sacré au Pays du sel »
L’exposition « L’art sacré au pays du sel » vient d’ouvrir ses portes à la chapelle saint Marc de Kervalet », elle sera visible pendant toute la saison au cœur du pays paludier, dans un cadre propice à la contemplation d’œuvres remarquables qui mettent en évidence la relation intime entre l’art et un territoire riche de son patrimoine religieux.
La chapelle de Kervalet édifiée au 15ème siècle période qualifiée « âge d’or du sel » occupe une place toute particulière dans la mémoire collective, on ne pouvait mieux trouver pour accueillir cette exposition qui établi un lien en le passé et le présent en raison des œuvres mêmes qui sont dévoilées au public. Bannières, sculptures, toiles et objets précieux, sont ici mis en scène avec harmonie. Le temps semble s’arrêter l’espace d’un instant dans ce village typique du pays paludier avec ses maisons resserrées autour du clocher, l’ambiance y est particulière, car au-delà de l’exposition la visite se prolonge, les découvertes se font progressivement au détour des rues, loin de la fébrilité du littoral, des routes et des flux migratoires de la période estivale.
Artistes d’hier et d’aujourd’hui, démontrent que toute démarche artistique, classique ou moderne est imprégnée de spirituel. A l’image de la création, l’art transcende le quotidien et le fixe pour l’éternité.
Exposition « l’art sacré au pays du sel » Chapelle saint Marc village de Kervalet
Du 7 juillet au 31 août, ouverture tous les jours de 10 h à 12 h et de 16 h à 19 h.
Entrée libre
A retenir : concert de clavecin, jeudi 4 septembre à 21 h
Récital pour deux guitares (musique irlandaise et écossaise) le dimanche 21 septembre à 17 h
La cité portuaire devint prospère avec des armements corsaires, le commerce du sel, la pêche à la morue et de la sardine…. Jusqu’à l’éclosion d’un phénomène nouveau : la naissance du tourisme, lequel est devenu aujourd’hui l’activité économique principale.
Voilà quelques temps déjà qu’un cadran solaire indique l’heure aux vacanciers, certes moins pratique que le cadran de la montre mais beaucoup plus intéressant et instructif. Le maillon manquant était le tir de canon et le son de la cloche pour faire un bond de quelques siècles en arrière. C’est aujourd’hui chose faite avec le pouvoir créatif et surtout inventif de deux amis passionnés par l’histoire autant que par les travaux scientifiques. Ingénieux, inventifs et finalement artistes Claude Cistac et Alfred Gadeceau cultivent en commun l’art de la recherche et il était bien illusoire de croire un seul instant qu’il s’arrêterait à leur cadran solaire.
« Le matériel sophistiqué nécessité pour cette réalisation fait appel aux disciplines de l’optique, de l’optoélectronique et de la mécanique. Elle est alimentée par une simple batterie d’automobile. La chaîne ainsi constituée agit in fine sur la mise a feu du canon méridien. Mais pas d’inquiétude cet engin ne s »apparente pas à une machine de guerre mais seulement à un gadget distratif »
Après une assemblée générale qui a amené des changements aux postes de responsabilités, l’association Le Croisic Solidaire, se refonde autour d’un nouveau président sur des bases constructives. Joël Faou, son président a donné les orientations d’une opposition nouvelle de gauche, bien décidée à réfléchir et travailler à ce qui demain pourrait emporter la décision sur des idées novatrices, en phase avec les problèmes du quotidien.
Nouvelle venue dans la paysage croisicais, l’association Vivre Le Croisic s’est constituée autour d’une trentaine de croisicaises et de croisicais afin d’apporter une contribution citoyenne sur les problèmes et les projets intéressant l’ensemble de la population qu’elle soit résidente à l’année ou en résidence secondaire.
Comme chaque année, l’église Saint Guénolé, l’un des trésors du patrimoine architectural de Batz sur mer dévoile tous ses secrets grâce à deux guides mandatés par la SPREV ( sauvegarde du patrimoine en vie) pendant les mois d’été. Des visites gratuites destinées à permettre aux vacanciers de découvrir ce qui distingue les lieux cultuels par leur conception architectural sans oublier de décliner les œuvres d’art qui les distinguent.
Grâce aux bonnes volontés et aux compétences diverses, les spectateurs peuvent assister chaque été à de véritables démonstrations d’un savoir-faire ancien présenté de manière pédagogique : costumes, maquettes, panneaux et surtout explications à l’appui de ces travailleurs de la mer qui nous font vivre tout l’amour qu’ils portent à leur « pays » Le sauvetage en mer y est présent ; on y trouve les activités salicoles, l’art des brodeuses et la beauté des coiffes d’antan, une intéressante exposition de crustacés naturalisés, des explications des différentes techniques de pêche, la réparation de casiers et de filets (ramendage), l’art de confectionner les nœuds marins (matelotage), la charpenterie de marine, calfatage, voilerie…… et bien sûr de la musique traditionnelle avec le Bagad de la Presqu’île mais aussi de la chanson que chacun peut reprendre.
