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Carnaval : venez nous rejoindre

La ville invite tous ceux qui souhaitent à rejoindre les carnavaliers déjà inscrits pour le carnaval du Croisic le samedi 14 avril au soir pour le bal et le dimanche 15 avril pour le défilé sur les quais. Pas de thème imposé, costumes libres, chars acceptés avec enthousiasme. Contact à la mairie Laure Brechet 02 28 56 78 50 ou l.brechet@lecroisic.fr

 

 

 

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 06:30

Carrément méchants, jamais contents  

(Pastiche d’après Jamais content chanson d’Alain Souchon) à chanter entre amis

 

On  me dit qu’ils pleurent tout le temps,

Invectivent, critiquent sans rien proposer, agaçant

Ils n’aiment  plus leur ville, les gens, consternant.

On me dit qu’ils pleurent tout le temps,

Ils sont carrément méchants, jamais contents,

Carrément méchants, jamais contents.

 

Déjà que la conjoncture, signe des temps,

Impose intelligence, imagination, anticipation, C’est évident

Chez les amis, qu’ils voudraient rallier, qu’ils espèrent,

Ils brouillent les pistes, jouent la confusion, tout le temps

Rumeurs et désinformation, carrément vulgaire, très ordinaire,

Carrément vulgaire, très ordinaire.

 

Ils veulent enrôler les croisicais d'office,

A  faire le grand saut comme chez les parachutistes.

Ils voudraient que leurs compatriotes rament à contre courant

Sans penser à l’avenir de leurs enfants

On leur dit "Non ! Pas beau, votre avion !",

Carrément on dit "Non ! Pas beau, l'avion !".

 

Ils se sont mis hors jeux de la majorité.

Beaux parleurs, haussant la voix 

Ils teignent en noir leurs opinions qu’ils distillent

Pour être plus populaires, pour faire viril.

Carrément débiles, ils ne trouvent  pas leur style.

 

J'ai chopé la mélancolie d’un autre temps

En écoutant leurs propos consternants 

Des arguments pour opposants pas bien.

Faudrait qu’on dise on ne fait  plus rien.

Ça m'a carrément miné, tout dégoûté,

Carrément miné, tout dégoûté.

 

Critiquant gratuitement, ils voudraient, pitoyables,

Que l’on flatte leur égo, d’opposants sans chapelle,

Que l’on détruise les projets qu’ils ne savent pas imaginer

Que les petits croisicais en sortie de ville soient concentrés.

Ils mettent carrément le feu en pensant bien fait pour eux ! (bis)

 

On me dit qu’ils  pleurent tout le temps,

Qu’ils n’aiment plus leurs jeux, la ville, c’est consternant.

On me dit qu’ils  pleurent tout le temps, ils sont

Carrément méchant,  jamais contents,

Carrément méchants, jamais contents.

 

(Bertrand Le Cormoran à la manière d’Alain Souchon)

 

Texte réglementaire :

Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontières."
- Article 11-1 de la "
Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne". 2000/C 364/01. Nice, le 7 décembre 2000  (source avocats)

 

Rappel de la rédaction:

   

La publication des communiqués reçus reste la liberté totale et entière de la rédaction du blog Hippocampeinfo2 qui dégage toute responsabilité sur les propos tenus et se réserve le droit de publier les commentaires concernant cet article après modération.

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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 07:00

Patrimoine, politique sociale et développement

Une tempête dans un verre d’eau….quoi que

 

Les croisicais sont-ils solidaires et en symbiose avec les contestataires, les pétitionnaires qui ne disent pas leur nom, les porteurs de ragots et de rumeurs

Pourtant chez nous point de dictateur mais plutôt des femmes et hommes de progrès issus ,on le rappelle, d’un vote démocratique en 2008.

Une nouvelle contribution synthétique de lecteurs lassés de n'entendre qu'un son de cloche!

 

Un « pétitionisme » aiguë

 

On assiste depuis quelque temps déjà à ce que certains qualifient de mouvement de foule. Personne visée en priorité : le maire du Croisic (une femme pensez dont) que l’on charge de tous les maux de la terre et à laquelle on attribue tous les défauts connus ou imaginés.

 

D’ailleurs elle partage ces critiques avec toute son équipe sans distinction aucune (élus et services), dans cette affaire il y en a pour tout le monde, les opposants sont généreux dans la vindicte et véritablement peu respectueux des personnes, on le voit.

 

Parmi les sujets  soit disant mobilisateurs le fameux Forum qui vient de fédérer en apparence (du moins) des intérêts contraires : cinq associations se sont unies non pour adresser une pétition ne cessent-elles de répéter mais plutôt un manifeste d’ailleurs non soumis au vote des adhérents des associations signataires.

 

Le jury populaire appréciera la subtile nuance démocratique.

 

Billevesée que tout cela et langue de bois relevée à la sauce moutarde !

 

Car en effet comment s’appelle ce type de démarche menée d’ailleurs en marge  d’une commission Patrimoine crée par le maire et ouverte à la société civile. Encore qu’elle désinforme la population dans une conférence de presse programmée bien avant la dernière réunion de la commission Patrimoine, donc en totale ignorance de son contenu !

Pour nous il s’agit bel et bien d’une pétition. C’est démodé, petit et ringard, Point barre !

 

Il y aurait donc une réaction populaire à la politique conduite par la majorité élue ?

Que nenni ! Car si tout projet se construit à partir d’une réflexion elle se pare pour le coup d’une véritable concertation auprès du public concerné, c'est-à-dire les associations,  elles ont été ou seront reçues pour étudier avec elles leurs besoins immédiats et futurs.

 

Vous appelez cela un déni de démocratie ?

 

Là encore une fois nous nous gaussons de voir et de constater que lorsque certains courants d’opinions (peu adeptes dans le passé de la démocratie) parlent d’intégration, leur démarche évoque plutôt la désintégration d’un système et d’un équilibre social. Car en effet l’argument social lié au logement possible et  abordable pour des jeunes couples (en locatif social ou candidats à la primo accession) est bien le point central surtout lié aux intérêts particuliers des membres de l’alliance anti Quellard qui elle, développe bien souvent dans la plus grande discrétion et cela depuis des années (avec des réalisations concrètes) une action continue visant à mettre la commune en conformité avec les préconisations de la loi SRU.

 

Mesdames et messieurs vous n’avez pas le monopole du cœur et vous avez des défauts dont il faudra bien vous corriger.

 

Nous avons un maire à plein temps qui concentre tous ses efforts vers le mieux vivre et le bien être, elle est entourée d’une équipe soudée, travailleuse et compétente et qui surtout ne s’économise pas pour réussir dans un contexte difficile.

 

L’herbe serait donc plus verte dans le pré du voisin ?

Difficile à croire n’est ce pas.

 

C’est curieux comme l’opposition (en général) sert de creuset à des idées lumineuses et quand survient l’alternance c’est trop souvent la soupe à la grimace.

On croit sentir un parfum de misogynie dans tout cela.

 

Alors la question mérite d’être posée :
 Quels sont objectivement les vrais amis du Croisic ?

 

Sûrement pas celles et ceux qui s’agitent, se regroupent pour montrer qu’ils existent, qui mordent  au passage la main qui les nourrit (on est élégants, on ne les nomme pas, ils se reconnaîtront) n’oublions pas et c’est souvent les mêmes qui se servent des associations pour porter un message politique, ce qui ne nous paraît pas très légal

 

A ceux qui renâclent et grognent

N’oubliez pas qu’il existe au Croisic comme ailleurs une majorité silencieuse qui aspire à une vie tranquille, c’est dans ce domaine que la municipalité est la meilleure, elle ne se disperse pas en vaines querelles, elle travaille et obtient des résultats. C’est effectivement insupportable pour ceux qui s’agitent et ne font rien.

 

Pensée du jour : « Les chiens aboient, la caravane passe »

 Mais....

Il ya toujours de la place pour les hommes et femmes de bonne volonté qui mettent l’intérêt collectif au centre de la vie publique et qui n’attendent rien en retour, Le Croisic n’en est pas dépourvu, c’est une chance.

Précisions utiles :

 

La mise en vente d’éléments du patrimoine est une piste (une précision cependant aucun élément du patrimoine visé est actuellement sur le marché), elle serait justifiée par la charge très lourde sur les finances communales pour l’entretien et la valorisation de ce patrimoine obérant très nettement les projets de développement nécessaires et indispensables.

Et oui, comme pour les ménages quand on connaît des difficultés financières on procède à des arbitrages concernant les charges.

Cela s’appelle de la bonne gestion.

 

On peut aussi augmenter les impôts de manière régulière et significative

ou encore geler tout développement… On peut encore retourner vivre dans les cavernes,  sans électricité ni confort, on peut encore interdire la culture aux personnes qui n’en seraient pas dignes, négliger le système éducatif, balayer d’un geste de la main le commerce et l’artisanat, laisser courageusement aux générations futures le soin de tout régler ….

 

Et pour finir en beauté on peut délaisser le tissu associatif et négliger son rôle dans la vie et le dynamisme de la cité…

Qui est d’accord ? Parce que tout cela peut être mis en place tout de suite et sans problème !

 

 


 

 

Texte réglementaire :

Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontières."
- Article 11-1 de la "
Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne". 2000/C 364/01. Nice, le 7 décembre 2000  (source avocats)

 

Rappel de la rédaction:

   

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21 octobre 2011 5 21 /10 /octobre /2011 08:30

 libre expression

 

« L’union de la carpe et du lapin »

Par Bertrand Le Cormoran

 

Un premier constat : force est d’admettre, à moins d’être de mauvaise fo,i que l’arrivée de l’Office au cœur du centre historique est une réussite qui dépasse toutes les espérances et dissipe tous les doutes. L’implantation de l’OTSI est non seulement une réussite qui s’inscrit dans une logique commune à toutes les villes modernes. D’autant qu’aux détracteurs qui bataillent ferme contre le projet  Forum, le maire et son équipe ne ménagent en rien leurs efforts pour dynamiser ce fameux cœur de ville dont on parle tant. La fréquentation de l’Office explose véritablement, son positionnement est très apprécié, les visiteurs ont eux bien remarqué que la ville s’était donné les moyens pour faire de ce bâtiment rénové, valorisation du patrimoine oblige un exemple sans doute à suivre, le résultat donne une vitrine remarquée et remarquable d’une petite cité de caractère qui ne perd pas son temps en de vaines querelles.

Autre point important, la présence à l’Office d’une équipe opérationnelle, compétente et soudée avec une organisation rodée et performante sont les éléments d’un succès annoncé. Ajoutons à cela, une recherche permanente de qualité dans l’accueil des visiteurs, du service rendu (avec l’apport des technologies nouvelles et la volonté d’évoluer et de s’ouvrir à un public qui évolue lui-même au rythme des changements de la société et des manières de vivre de façon moderne le temps libre et les vacances, à tout cela s’ajoute la volonté d’accéder à des labels importants comme « Tourisme et handicap » pour n’en citer qu’un.

 

Alors qu’est-ce qui ne va pas pour certaines personnes ? Serait-il si difficile d’admettre que la politique développé par la municipalité puisse être efficace et porteuse d’un projet global visant l’intérêt collectif ? Les éternelles relances de commentaires ne sont certainement pas la garantie d’une sérénité indispensable à la bonne exécution des projets, il nous semble déceler de la part de certains une volonté manifeste de souffler inlassablement sur les braises afin de provoquer l’incendie.

 

Pourquoi partant de l’Office de Tourisme (sur lequel certains n’ont rien de nouveau à ajouter), glisse-t-on tout doucement vers d’autres sujets pour critiquer la majorité en place. Alors on à presque envie de rire devant les arguments des censeurs, on nous parle de créer une confrérie des acteurs locaux. Pourquoi une confrérie et pas une union des commerçants ou toute forme de syndicat professionnel ?

 

On lit qu’un ex directeur du comité départemental du Tourisme à la retraite s’échauffe quelque peu du fait que l’on oublie les anciennes pratiques, celles où l’office de tourisme, tel un vieux chat, ronronnait, faisait le gros dos et finalement se laissait glisser dans une torpeur, satisfait et béat de vivre de ses acquits. S’il est juste de regarder le passé  ce ne peut être que pour en tirer les leçons et évoluer dans l’intérêt de tous.

 

On apprend aussi qu’une élue dissidente et sans doute revancharde, oubliant qu’elle fut un temps à la tête de ce même Office, fustigeait les oppositions lors des questions portant sur l’office, son déplacement, son organigramme et sa mission, elle se livre désormais à des observations acides et contraires sur des choix qu’elle n’a pas fait ou n’a pas su faire alors qu’elle était en situation de responsabilité. Bravo, mais pas de rappel , là ce n'est pas possible!

 

Entrons dans le détail :

Ceux là nous disent que les statistiques seraient inexactes, car on ne tient pas compte des résidents secondaires.
Mais, oubliez-vous que le résident secondaire n’est plus à gagner parce qu’il a déjà fait son choix : investir au Croisic pour y séjourner le temps des vacances et sans aucun doute s’y retirer une fois la retraite venue.

C’est vers le touriste occasionnel et nomade,  et même l’habitué soumis à tant de sollicitations  qu’il convient d’aller, de lui fdonner matière à choisir Le Croisic, à le fidéliser et vous le savez bien, un produit ne se vend bien que grâce à ses avantages.

 

Quels sont ces avantages ?

La liste est longue, mais citons quand même la position privilégiée du Croisic, son caractère particulier, son (micro) climat, sa situation avancée dans la mer qui lui confère un charme certain, et bien sûr son patrimoine et son histoire sauf que l’on ne choisit pas de venir au Croisic parce qu’il y a l’Hôtel d’Aiguillon mais bien pour les premiers éléments cités. Nous ne sommes pas en bord de Loire et nous n’avons plus de château !

 

Pas d’animations au Croisic ?

C’est à mourir de rire !

En effet, sans chauvinisme aucun, la  ville regorge d’animations : festival de la Page à l’Image, Un soir sur les quais, tempo, Plumes d’Equinoxe, Théâtre en Automne et de nombreuses expositions, évènements nautiques de grande envergure, Vieux métiers de la mer, exposition de modélisme à cela il convient d’ajouter les concerts gratuits, les animations montées par un tissu associatif dynamique comme La calebasse, Arts et Balises, Arts et Animations et des initiatives municipales de qualité saluées par le public, des animations sportives. Un inventaire qui conviendrait à bien des communes, je crois. Ajoutons que la ville noue des partenariat avec ces acteurs de la vie locale, qu’elle les soutient financièrement, soit directement par le biais de subventions (de fonctionnement ou exceptionnelles) soit indirectement par le prêt de salles, par l’engagement du personnel communal et la mise à disposition de matériels… Tout cela a un coût qui est assumé par la collectivité, cela n’est cependant pas à regretter

En conclusion pour certains ce n’est pas assez, pour d’autres c’est trop ! Cherchez l’erreur

 

Et le tourisme ? Comment est-il vécu aujourd’hui ?

De manière bien différente qu’autrefois, il s’agit désormais d’un tourisme de territoire. Ce qui veut dire clairement et cela est vrai qu’une politique allant dans ce sens est souhaitable, sauf qu’elle existe déjà !

Nous sommes dans un secteur concurrentiel qui, même si l’on doit développer une politique d’ensemble, la promotion de chaque ville composant ce territoire se doit d’être faite (le mieux possible avec une vision et des moyens modernes)  et j’ai envie de dire à cet ancien directeur du CDT que cela est pratiqué depuis quelques années quand même. Je m’étonne qu’il ne le sache pas. Pour Le Croisic c’est une évidence qui ne peut échapper à personne, la volonté existe, les moyens sont là et vous ne le voyez pas ?

 

En conclusion :

Finalement à quoi servent les observations faites par les deux personnes précitées ?

A rien du tout, nous y voyons clairement une démarche visant à semer le trouble et la confusion dans un premier temps puis le doute et la défiance envers les élus, le tout teinté de l’incompétence dont on voudrait injustement  les alourdir. Mais il paraît qu’il y a en 2014 une élection, cela ne leur a pas échappé, ça par contre c’est sûr. Etre plus négatif que cela, on meurt ! C’est un peu l’union de la carpe et du lapin !

 

Qu’auront-ils à présenter à l’heure du bilan ? Où sont les idées miraculeuses tout droit sorties du chapeau de ceux-là ? Que mettent-ils de concret sur la table ?

 

 La crise souvent invoquée existe bien mais c’est justement dans ces situations que l’on voit où se situent les hommes et femmes de progrès, responsables, ceux là affrontent l’adversité et agissent avec courage, non pour eux-mêmes mais pour la communauté qui leur a donné démocratiquement le mandat pour le faire.

 

Enfin la pensée du jour :

« L’honneur d’un homme (ou d’une femme) public c’est de ne pas ressembler à ces critiques » pas de souci sur ce plan là pour nos élus qui ont pris en main les affaires, quant aux autres …Il y a du boulot !

 

 


 

Texte réglementaire :

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- Article 11-1 de la "
Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne". 2000/C 364/01. Nice, le 7 décembre 2000  (source avocats)

 

Rappel de la rédaction:

   

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8 avril 2011 5 08 /04 /avril /2011 12:06

Nous y voilà, nous y sommes.

Nous y sommes

( Par Fred Vargas )

 

 Nous y voilà, nous y sommes.

 

Depuis cinquante ans que cette tourmente menace dans les hauts-fourneaux de l'incurie de l'humanité,

nous y sommes.

Dans le mur, au bord du gouffre, comme seul l'homme sait le faire avec brio, qui ne perçoit la réalité que

lorsqu'elle lui fait mal.

 

Telle notre bonne vieille cigale à qui nous prêtons nos qualités d'insouciance, nous avons chanté, dansé. Quand

je dis « nous », entendons un quart de l'humanité tandis que le reste était à la peine. Nous avons construit la vie

meilleure, nous avons jeté nos pesticides à l'eau, nos fumées dans l'air, nous avons conduit trois voitures, nous

avons vidé les mines, nous avons mangé des fraises du bout monde, nous avons voyagé en tous sens,

nous avons éclairé les nuits, nous avons chaussé des tennis qui clignotent quand on marche, nous avons grossi,

nous avons mouillé le désert, acidifié la pluie, créé des clones, franchement on peut dire qu'on s'est bien amusés.

On a réussi des trucs carrément épatants, très difficiles, comme faire fondre la banquise, glisser des

bestioles génétiquement modifiées sous la terre, déplacer le Gulf Stream, détruire un tiers des espèces vivantes,

faire péter l'atome, enfoncer des déchets radioactifs dans le sol, ni vu ni connu. Franchement on s'est marrés.

 

Franchement on a bien profité.

Et on aimerait bien continuer, tant il va de soi qu'il est plus rigolo de sauter dans un avion avec des tennis

lumineuses que de biner des pommes de terre.

Certes.

vague-1.jpg

Mais nous y sommes.

A la Troisième Révolution.

Qui a ceci de très différent des deux premières (la Révolution néolithique et la Révolution industrielle, pour

mémoire) qu'on ne l'a pas choisie.

« On est obligés de la faire, la Troisième Révolution ? » demanderont quelques esprits réticents et chagrins.

Oui.

On n'a pas le choix, elle a déjà commencé, elle ne nous a pas demandé notre avis. C'est la mère Nature

qui l'a décidé, après nous avoir aimablement laissés jouer avec elle depuis des décennies. La mère Nature,

épuisée, souillée, exsangue, nous ferme les robinets. De pétrole, de gaz, d'uranium, d'air, d'eau. Son ultimatum est clair et sans pitié : Sauvez-moi, ou crevez avec moi (à l'exception des fourmis et des araignées qui nous survivront, car très résistantes, et d'ailleurs peu portées sur la danse).

Sauvez-moi ou crevez avec moi

Évidemment, dit comme ça, on comprend qu'on n'a pas le choix, on s'exécute illico et, même, si on a le temps,

on s'excuse, affolés et honteux. D'aucuns, un brin rêveurs, tentent d'obtenir un délai, de s'amuser encore

avec la croissance.

Peine perdue.

Il y a du boulot, plus que l'humanité n'en eut jamais.

Nettoyer le ciel, laver l'eau, décrasser la terre, abandonner sa voiture, figer le nucléaire, ramasser les ours

blancs, éteindre en partant, veiller à la paix, contenir l'avidité, trouver des fraises à côté de chez soi, ne pas

sortir la nuit pour les cueillir toutes, en laisser au voisin, relancer la marine à voile, laisser le charbon là où

il est, attention, ne nous laissons pas tenter, laissons ce charbon tranquille, récupérer le crottin, pisser

dans les champs (pour le phosphore, on n'en a plus, on a tout pris dans les mines, on s'est quand même

bien marrés).

S'efforcer.

Réfléchir, même.

 Et, sans vouloir offenser avec un terme tombé en désuétude, être solidaire.

Avec le voisin, avec l'Europe, avec le monde.

Colossal programme que celui de la Troisième Révolution.

Pas d'échappatoire, allons-y.

Encore qu'il faut noter que récupérer du crottin, et tous ceux qui l'ont fait le savent, est une activité

foncièrement satisfaisante. Qui n'empêche en rien de danser le soir venu, ce n'est pas incompatible.

A condition que la paix soit là, à condition que nous contenions le retour de la barbarie, une autre des

grandes spécialités de l'homme, sa plus aboutie peut-être.

A ce prix, nous réussirons la Troisième révolution.

A ce prix nous danserons, autrement sans doute, mais nous danserons encore.

 

Fred Vargas

Archéologue et écrivain

 

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7 juillet 2010 3 07 /07 /juillet /2010 21:38

Vie portuaire

Election de René Leroux à la tête de la société d’économie mixte

 

Dernier rebondissement dans la question du devenir des criées du Croisic et La Turballe.  La société d’économie mixte aura à sa tête René Leroux, maire (Ps) de la Turballe, une élection finalement sans surprise compte tenu de la position de ce dernier au sein du Conseil Général, mais c’est aussi une position renforcée qui pourrait placer la Turballe dans un schéma favorable pour sa criée elle aussi en proie à des difficultés plus importante que celle du Croisic.

L’entente sera telle cordiale ou pas sachant que le véritable enjeu pour l’avenir ne passera que s’il y a égalité et objectivité de traitement entre les deux ports.

 

Michelle Quellard a tenu à s’exprimer sur cette élection encore toute chaude nous livrons ici l’intégralité de sa déclaration tenue lors d’un point presse qui s’est déroulé au retour de Nantes.

 

« Nous revenons du Conseil Général où nous avons signé les statuts de la SEM et où nous devions désigner un président, Monsieur René Leroux s’est présenté ; il a été élu règlementairement. Nous considérons que c’est une  provocation du Conseil Général et que cela est politiquement incorrect. Malgré des discours constructifs tenu précédemment, le Conseil Général ne montre aucune intention de construire ensemble, on s’en est rendu compte aujourd’hui, tout cela n’est pas conforme à ce qui avait été dit quand on parlait de l’âge du président, Monsieur Leroux avait dit à cette époque qu’il ne se présenterait pas, je vois que l’on peut changer d’avis et ce n’est pas du tout ma conception de la politique, je travaille dans la droiture et dans l’intérêt général, je regrette donc ce comportement. Ce qui me gêne dans tout cela c’est le fait que Monsieur Leroux cumule les mandats (Maire de la Turballe, Conseiller Général, aujourd’hui président de la SEM) et je me réfère à ces déclarations dans un article daté du 26 février que, je le cite – Le Croisic reste un port de pêche évidemment, qu’il ait un débarquement pourquoi pas, rien n’est exclu,, mais il y a des normes alimentaires et tellement d’investissements à faire au Croisic que je ne vois l’intérêt de mettre un emplâtre sur une jambe de bois – lit le maire une photocopie à la main. Je trouve qu’il y a là de quoi s’interroger, je me demande si Monsieur Leroux qui nous a fait un discours préparé par avance tiendra les engagements qu’il a tenu cet après-midi. »

 

Sujet d’actualité à l’échelon national, la question du conflit d’intérêt se pose aujourd’hui.

Il faut savoir que du côté croisicais Gérard Le Cam, premier adjoint, représentant les intérêts de la commune au sein de la SEM s’est lui aussi porté candidat, une candidature qui n’a pas pesé assez lourd dans ce qu’il faut appeler un « Petit arrangement entre amis » Nous écrivions dans un article précédent « qu’il fallait sauver le soldat Leroux » force est de constaté que la mission a été remplie avec succès. A notre sens il aurait été convenable de porter à la tête de la SEM, une personnalité neutre, libre de toutes attaches (mandat électif) avec l’une ou l’autre des deux communes concernées qui aurait pu présider objectivement la nouvelle structure et rendre les arbitrages avec une légitimité indiscutable.

 

Michelle Quellard parle de malhonnêteté intellectuelle et de provocation

voire même d’indécence, ces termes ne sont pas excessifs sur la forme comme sur le fond, car à une époque agitée de soubresauts chaque jour bondissants au gré de révélations relayées par une partie de la classe politique, la logique elle, n’a pas de camp, elle s’applique dans tous les cas pour chaque personne même et surtout si le maire ne regrette en aucune façon la création de la SEM destinée à sauver la filière pêche sur les deux ports concernés… Mais, car il y a un Mais de taille : revenir sur des déclarations et agir de manière clanique augure bien mal de relations futures qui doivent être sincères, véritables et impartiales pour construire la réussite du projet collectif. Car les enjeux sont plus économiques et sociaux que politiques 

 

Pour les élus croisicais « Le rouleau compresseur est passé » reste à en relever la marque et  les traces  et  deviner où elles vont avec cette conclusion reconnue de tous « On ne peut pas être juge et partie »…

 

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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 13:36

Cinéma Le Hublot

 mise au point de l'association

 

(Note de la rédaction d’Hippocampeinfo2)

Précisions faites par Mme Liliane Métivier (et nous ayant été adressées), présidente de l’association du Cinéma associatif du Croisic, suite à la lettre expédiée par Monsieur Claude Cholet à propos du cinéma où était projeté un film mettant en scène certains résidents du Centre Saint Jean de Dieu (courrier paru dans la rubrique « le courrier des lecteurs » du vendredi 23 avril dernier de l’Echo de la Presqu’île. Nous publions cette mise au point considérant que l’intervention de cette personne (Monsieur Cholet) était suffisamment inexacte dans son contenu, dans ses motifs et qu’elle reposait sur une méconnaissance entière du dossier qu’elle prétend évoquer.

Autre précision notre article concernant l’assemblée générale de l’association du cinéma Le Hublot a été réalisé au vu du compte  rendu légalement rédigé transmis à notre attention, il ne tresse pas de lauriers au directeur de la salle Mickaël Gauthier lequel par ailleurs (nous tenons à le dire)  effectue avec toute une équipe de bénévoles, un travail efficace et remarquable hissant la salle croisicaise à un très bon niveau auxquels les cinéphiles (tout public et tous âges) répondent positivement par une présence fidèle, plusieurs grand noms du  métier l’honorent de leur présence (réalisateurs, acteurs renommés, scénaristes). Quant au problème de l’accessibilité de la salle par les personnes à mobilité réduite c’est un problème qui fait l’objet d’une réflexion qui mobilise le cinéma comme les élus et qui doit aboutir, il concerne plus largement les personnes à mobilité réduite croisicaises ou en villégiatures et de tous âges.

 

Réponse de Mme Métivier à Mr Cholet

 

Au nom de tous les adhérents du cinéma associatif le Hublot, représenté par sa Présidente Mme Liliane Métivier, nous tenons à répondre au courrier des lecteurs du vendredi 23 avril, dans lequel M. Cholet, "un spectateur", critiquait notre salle. Nous allons répondre à M. Cholet, l'éclaircir sur les sujets qu'il a abordés et démentir certains points.

Tout d'abord l'article dont M. Cholet parle (vendredi 9 avril) n'est pas consacré à M. Gauthier, Directeur du Hublot. Il s'agit d'un résumé du compte rendu d'activités de l'Assemblée Générale, à laquelle seule la représentante d'un autre journal a assisté. Les journalistes absents pourtant conviés à cette réunion ont reçu un extrait de compte rendu par mail et en ont fait un article, en l'illustrant d'une photo d'archives.

L'investissement pour la 3D, dont parle M. Cholet, n'a rien à voir avec la Mairie puisque l'Association du Cinéma a financé à elle seule l'équipement numérique et la 3D (pour infos : projecteur, lunettes et capteurs 3D et non un "nouvel écran"), afin d'apporter à son public une meilleure qualité d'image et de son et un accès plus facile à certains films.

Il ne faut pas y voir une volonté de "rivaliser" avec Guérande, même s'il est vrai que la concurrence est là et qu'il faut bien continuer à tourner et rester au goût du jour pour suivre les avancées technologiques et répondre aux attentes du public et des distributeurs de films.

En ce qui concerne l'accès aux personnes handicapées, nous collaborons avec la Mairie afin de trouver la BONNE SOLUTION pour résoudre ce "problème" qui nous tient extrêmement à coeur. Vous n'êtes pas sans savoir que d'ici 2015 cela deviendra obligatoire pour les ERP.

Pour RAPPEL : les murs du cinéma appartiennent à la Mairie, qui en a confié la gestion à l'Association du Cinéma voilà maintenant près de 20ans en 1991.

La municipalité actuelle étudie toutes les solutions possibles afin qu'un jour le Hublot accueille les personnes à mobilité réduite, ayant aussi conscience du vieillissement de la population du Croisic.

L'investissement au quotidien des bénévoles et du Directeur est colossal, offrant aux croisicais un outil culturel ouvert toute l'année. En 10ans, le Hublot est passé de 20.000 à 32.000 spectateurs et ce n'est pas fini .........

Nous sommes les premiers à espérer et à vouloir que nos amis pensionnaires de St Jean de Dieu et les autres aient un accès comme nous tous au 7ème art sur grand écran.

 

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3 mars 2010 3 03 /03 /mars /2010 12:24

Pour info

 

Comme vous le savez, après la tempête qui a si durement touché nos côtes ce week-end, Jacques Auxiette a suspendu sa campagne électorale durant 48 heures.

Après avoir passé la matinée de lundi sur le littoral vendéen, en particulier à l’Aiguillon et La Faute sur Mer, où il a accueilli le Président de la République, Nicolas Sarkozy, Jacques Auxiette, a réuni à la Roche sur Yon, l’exécutif régional, composé des 15 vice-présidents, exceptionnellement élargi à tous les présidents de groupes politiques de la majorité et de l’opposition.

Mardi Jacques Auxiette a passé la journée sur le littoral de Loire Atlantique. Adeline L’Honen l’a notamment accompagné sur La Presqu’ile.

-La Baule, Le Pouliguen, Batz sur Mer, Le Croisic et Guérande-.

 

En présence des Maires des différentes communes Jacques Auxiette a apporté son soutien aux particuliers et aux professionnels touchés par la tempête. Il a également assisté à une réunion regroupant l’ensemble des paludiers et les syndics des digues.

A cette occasion, Jacques Auxiette a confirmé la tenue d’une séance extraordinaire du Conseil régional des Pays de la Loire, mercredi 3 mars à 18 H afin de voter un plan Tempête régional d’un montant global qui avoisinera les 2O M€.

Ce plan exceptionnel proposera 4 volets de mesures


Solidarité à l’égard des familles sinistrées

• Subventions directes aux communes ou aux CCAS des communes touchées via le Fonds régional de solidarité communale dont les modalités d’intervention sont exceptionnellement modifiées. Versements immédiats, notamment à LA FAUTE SUR MER, L’AIGUILLON et MOUTIERS EN RETZ. Aides complémentaires pour la réouverture des services publics (écoles,…) et d’équipements de première nécessité (accès,…)

• Apport de ressources humaines aux communes via des emplois tremplins temporaires (6 mois) pour prendre le relai des bénévoles et assister les populations dans leurs démarches.

• Aider les familles en hébergeant les jeunes et en apportant une aide : internats, fonds social des lycéens.

• Participation à un guichet unique des collectivités et coordination des interventions solidaires des collectivités (Nantes, Le Mans, Angers, St Nazaire …), qu’il s’agisse d’aides matérielles ou financières.


Maintien et relance de l’activité économique

• Création d’un fonds d’avances aux entreprises et artisans touchés par la tempête, mobilisable dans l’urgence.

• Financement de la reconstruction des équipements portuaires (pêche mais aussi soutien aux professionnels de la plaisance).

• Soutenir les filières paludière, ostréicole et conchylicole, mais aussi l’agriculture. Mesures spécifiques pour Guérande.

 

Soutien à la filière touristique :

• Soutien aux opérateurs touristiques touchés et aux communes (avances).

• Anticiper toute dégradation de l’image des territoires, en finançant une campagne de promotion en prévision de la saison touristique. Contrer l’effet « annulation des réservations », en coordination interrégionale.

• Maintenir l’emploi et le pouvoir d’achat des salariés : mobiliser les mesures de lutte contre la crise d’aide à la formation en cas de chômage technique

• Préserver le patrimoine naturel régional : mesure spécifique pour le marais poitevin (financement de travaux hydrauliques par la création d’un fonds d’investissement interrégional spécifique).


Financement de la reconstruction
des infrastructures de protection du littoral

• Engager dès aujourd’hui plusieurs millions d’euros pour co-financer le programme national de reconstruction des équipements (digues, cordon dunaire, etc…) annoncé par le Premier ministre.

• Déplafonner la part d’intervention régionale sur ces équipements en la portant à 25%.

• Demander la mobilisation du fonds d’urgence européen.

• Assurer la disponibilité de l’expertise technique de la Région, le cas échéant par la mise à disposition des moyens de maîtrise d’ouvrage de la SEM Régionale des Pays de la Loire (bâtiments relais…).

• Financer les travaux nécessaires dans les lycées publics et privés, et CFA, notamment à Guérande et La Roche sur Yon.

 

Le Conseil régional des Pays de la Loire prendra, passé le deuil et l’urgence, toute sa part aux multiples travaux d’analyse des raisons de cette catastrophe. Les expertises devront être coordonnées pour éclairer utilement les décisions d’avenir.

 

Le Conseil régional contribuera aussi, dans les compétences qui sont les siennes, à la préparation de plans d’aménagement futurs et de stratégies de défense contre la mer.

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3 mars 2010 3 03 /03 /mars /2010 09:53

 communiqué

Des propositions pour les victimes de la Tempête Xynthia
André TRILLARD, Président, et les élus du Groupe Démocratie 44, souhaitent que le Conseil Général de Loire Atlantique s’engage fortement dans un soutien financier aux territoires et personnes victimes de la tempête Xynthia.


"La commission permanente du Conseil Général se réunira ce jeudi 4 mars

et les conséquences de la tempête Xynthia seront à l'ordre du jour.
Avec mes collègues de groupe Démocratie 44, je défendrai les
propositions du communiqué de presse ci-joint."
C. CANONNE, conseiller général


 

 

Les territoires de Loire Atlantique fortement endommagés par cette tempête sont aussi ceux qui avaient subi les pollutions liées au naufrage de l’Erika. Dans le cadre du procès, les responsables du naufrage ont été condamnés et le préjudice subi par la Loire Atlantique a donné lieu à une indemnisation de 5,3 M € : 4,3 M € en réparation du préjudice matériel et 1 M € en réparation de l’atteinte portée à sa réputation et à son image de marque.

 

Aujourd’hui, le Groupe Démocratie 44 demande que l’intégralité de ces fonds soit réservée aux réparations nécessaires suite à la tempête Xynthia. Ces fonds avaient été réservés par l’assemblée départementale à des actions sur le littoral, mais ces sommes, qui sont disponibles dans leur quasi-totalité, doivent être en priorité affectées aux communes touchées qui en ont particulièrement besoin.

 

Christian CANONNE, Conseiller général du Croisic, Guy LEMAIRE, Conseiller général de La Baule-Escoublac, Patrick GIRARD, Conseiller général de Pornic et Jean-Raymond AUDION, Conseiller général de Bourgneuf-en-Retz proposent ainsi que ces montants permettent :

- de reconstruire la digue de Batz-sur-Mer ;

- de rénover l’ensemble des infrastructures routières endommagées, des Moutiers à Guérande ;

- de rénover l’ensemble des infrastructures portuaires touchées ;

- d’apporter, en cas de défaillance des assurances, un soutien financier aux particuliers et professionnels touchés.

 

Ces sommes doivent impérativement être affectées dès aujourd’hui et les travaux engagés dès que possible. Ces fonds peuvent à la fois servir d’avances, remboursables lorsque les assurances auront joué leur rôle, et de subventions à des actions concrètes.

 

Par ailleurs, les élus du Groupe Démocratie 44 demandent qu’une étude soit lancée, en lien avec les services de l’État et les collectivités locales concernées, pour identifier toutes les voies permettant d’éviter à l’avenir que de tels drames se reproduisent.

 

 

 Groupe Démocratie 44

 

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24 mars 2009 2 24 /03 /mars /2009 21:03

 Départ au sein du bureau municipal

Claude Verneau remet ses délégations

 

Claude Verneau, adjoint au maire quitte le bureau municipal, il restera toutefois conseiller municipal indépendant. Déclaration de l’intéressé  et réaction du maire

 

« Je vous informe que j'ai demandé à Madame le Maire du Croisic, de ne plus assurer les délégations qu'elle m'avait confiées (adjoint délégué à l'Environnement, au Domaine Public et à la Sécurité). Je continuerai à assumer ma fonction de conseiller municipal indépendant pour y défendre les intérêts des habitants.

 

Ma décision n'est pas motivée par des raisons personnelles mais par des désaccords sur les orientations politiques du budget primitif de 2009, par des dysfonctionnements croissants qui m'empêchent d'exercer mes fonctions avec efficacité, et par des difficultés constantes liées au manque évident de conscience professionnelle, au plus haut niveau de la hiérarchie des services. »

déclaration de Mr Claude Verneauenvoyée par mail ce jour

 

Réaction de Michèle Quellard

 

« Je prends acte de la décision de Monsieur Claude Verneau. Je la déplore cependant, car sa compétence et son intérêt pour la chose publique auraient servi la collectivité mais je veux aussi apporter une précision.

Nous sommes, je le répète, une équipe au service de la communauté, une addition de compétences complémentaires et de personnalités différentes ce qui objectivement doit nous permettre d’appréhender le plus exactement possible la mission qui est la nôtre. Si chaque individu est important, il doit aussi s’effacer derrière le groupe.  La parole de chacun compte et doit se fondre dans une synthèse qui permet à la politique locale d’avancer. Nos services, par leur compétence, leur disponibilité et leur sérieux, en permettent la réalisation. Je leur accorde évidemment toute ma confiance

Il faut savoir composer avec les autres car une idée n’est bonne que si elle est expliquée et admise par tous, après, s’exerce la solidarité nécessaire qui doit exister envers  l’équipe.

Le départ de Claude Verneau qui désire reprendre sa liberté ne vient pas remettre en cause nos objectifs ni notre volonté d’être fidèles à nos engagements. C’est simplement une péripétie comme l’on en voie fréquemment dans l’entreprise, dans les associations quand une personne ne se sent plus en phase avec le groupe, ne se sent plus solidaire.


 

 

 

 

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23 décembre 2008 2 23 /12 /décembre /2008 05:41

 

Communiqué Association Les Amis des collectifs marée noire

 

 

Catastrophe de l’Erika, le principe du « pollueur-payeur » reconnu…

 

La protestation collective de plus d’une centaine d’organisations et de dizaines de milliers de personnes qui manifestaient le 5 février 2000 n’aura pas été vaine. Toutes ces organisations et personnes ont porté une parole citoyenne pour défendre l’intérêt général, demander le renforcement de la sécurité maritime à tout niveau (national, européen et international). Parallèlement, des collectivités territoriales ont agi pour obtenir des indemnisations financières légitimes.

 

La persévérance donne des résultats. L'association Les Amis des collectifs marée noire se réjouit de la décision prise par la Cour de Cassation qui a suivi l'avis de la Cour Européenne de Justice en considérant qu'un fuel mélangé à de l'eau de mer est bien un déchet. A partir de cette décision, si le pollueur est reconnu responsable, il devra payer. La route est ouverte pour l'application du principe "pollueur- payeur" et l'affréteur Total est fondamentalement concerné.

 

 Nous demandons que le délit écologique soit constitué en droit par l’instauration d’une loi « pollueur-payeur ». Parallèlement à cette procédure civile, le procès pénal en appel devra définitivement confirmer la responsabilité de l'affréteur. Nous voulons que ces procès aient une valeur dissuasive pour l’avenir, qu’ils fassent évoluer la jurisprudence et par suite la loi autour des questions de délinquance environnementale.

 

Quelques jours avant le 9ème et triste anniversaire de l'arrivée du fuel de l'Erika sur les côtes -le 24 décembre 1999, la commune de Mesquer a gagné une reconnaissance du principe de « pollueur payeur », l'association Les Amis des collectifs marée noire s’en félicite et reste vigilante…

 

 

Association Les Amis des collectifs marée noire

Nantes, le 23 décembre 2008

Contacts : 06 08 54 41 04 - 06 20 78 20 90

 

 

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