Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : HIPPOCAMPEinfo2
  • : TOUTE L'INFO Locale, Nationale et Internationale. Reportages -
  • Contact

DIVERS

 

soir-sur-les-quais.jpgScan-Lauf-jpg

 

 

Recherche

A la Une!

 Le premier média sur l'info locale
 Votre annonce ou votre publicité sur

"Ensemble, faisons circuler l'Info" "  

« Le savoir faire n’est rien sans le faire savoir »

contact téléphonique : 06 27 22 74 28

site  de Milepat Production : http://mileprod.over-blog.com
(pour nous contacter cliquer sur le bandeau)
entreprise individuelle SIRET n° 332 893 635 00059 code APE 7021Z

Les bonnes adresses au Croisic 

cliquer sur les liens 

 

Les saveurs de la mer, au cœur du centre historique  

 

Milepat Production Le Croisic "Votre communication sur mesure" :

 MAQUET~2 MAQUET~2 (cliquer sur le lien)

 

 

 

Communiqués

Carnaval : venez nous rejoindre

La ville invite tous ceux qui souhaitent à rejoindre les carnavaliers déjà inscrits pour le carnaval du Croisic le samedi 14 avril au soir pour le bal et le dimanche 15 avril pour le défilé sur les quais. Pas de thème imposé, costumes libres, chars acceptés avec enthousiasme. Contact à la mairie Laure Brechet 02 28 56 78 50 ou l.brechet@lecroisic.fr

 

 

 

Promotion de la Ville   

le croisic documentaire le croisic : documentaire copyright Milepat Production

 

(clic gauche pour visionner chaque vue, clic droit pour voir la vue précédente)

le croisic donnez de la hauteur 

Archives

Site à découvrir CAPTAIN MALO


Pour atteindre le site de CAPTAIN MALO cliquer  sur le bandeau
25 octobre 2006 3 25 /10 /octobre /2006 16:42

La langue Bretonne en Pays Guérandais
Une exposition temporaire révèle les inédits de l’histoire
 

C’est en plein pays Gallo qu’ont existé des îlots bretonnants, des sanctuaires en Pays Guérandais. Le musée intercommunal des Marais Salants de Batz sur Mer produit jusqu’en février 2007 une exposition temporaire qui situe remarquablement le sujet.

Quelle fut la place et l’importance de la langue bretonne en Pays Blanc ? Une question qui ne reste plus sans réponse grâce à l’érudition et à la très belle production de Mickaelle Simonin et Gildas Buron , les deux conservateurs du musée qui ont effectué un travail patient et minutieux de recherche. A l’arrivée, c’est une invitation à voyager dans le temps et faire quelques découvertes. Une visite à ne pas manquer !


Une langue communautaire et secrète
Les habitants des villages de Batz utilisaient la langue bretonne « L’intérêt d’en avoir maintenu la pratique tout au long des 18ème et 19ème siècle s’appuyait sur une stratégie et surtout sur une réalité économique en rapport étroit avec les activités liées au sel, car les paludiers du bassin guérandais étaient en relation avec les Côtes d’Armor, le Finistère et le Morbihan, nos paludiers se réservaient la possibilité d’aller exploiter des salines sur ce dernier département, ils avaient donc la nécessité de devoir s’intégrer au milieu, à la communauté d’accueil. Le breton pratiqué ici tenait beaucoup au vannetais et possédait bien des affinités avec celui du Gouëlo, employé entre Paimpol, Lanvollon et Plouha, juste aux limites du Trégor
Une longue quête documentaire
Il existe sur le sujet des documents, des sources manuscrites qui ont été compilées entre 1870 et 1962 ; elles ont été heureusement préservées. La « dé-bretonnisation » qui s’est ensuite manifestée est le résultat d’un isolement géolinguistique ; l’abandon de la langue correspond aussi au désintéressement de l’élite pour le breton, la raréfaction des ouvrages rédigés dans la langue a fait le lit d’un désintéressement sensible au niveau du système éducatif. Il aura fallu, lire et relire tout ce qui concernait ce sujet pour pouvoir ensuite avoir le matériel nécessaire au montage et à la production d’une telle exposition dont le mérite et de permettre de découvrir quelle était la situation sur le territoire de la presqu’île à une époque. La présentation et la mise en valeur des documents et d’une iconographie soigneusement sélectionnée enrichit la valeur du témoignage et constitue une mine de renseignements précieux pour les chercheurs.
 

Le Musée des marais salants joue là, un rôle déterminant et développe une pédagogie constante, la production des expositions temporaires sur des thèmes précis contribuent largement à la compréhension de ce que fut l’histoire commune. Une manière ludique d’en apprendre un peu plus sur la région et sur ceux qui ont précédés.

Partager cet article
Repost0
23 octobre 2006 1 23 /10 /octobre /2006 10:20
Théâtre en automne
Une nouvelle saison pleine de promesses
Après le cinéma et le livre, le théâtre a également son festival au Croisic où l’on cherche à imposer une autre vision de ce que doit être l’expression culturelle c'est-à-dire une ouverture sur la richesse des diversités. Cette année la recherche a été d’offrir au public un programme qui exprime toutes les diversités de l’expression théâtrale, le public le plus exigeant trouvera quelques satisfactions dans ce mélange des genres, café théâtre, sketches et pièces au format traditionnel forment le panel d’un art qui évolue et s’adapte aux réalités de notre époque. A consommer sans modération
Le programme
Vendredi 3 Novembre et Samedi 4 Novembre à 20 h 30 au Foyer des Anciens au Croisic Spectacle « Festival ! » par l’Atelier Théâtre du Grand Traict. A travers une parodie originale d’une folle journée du Festival de Cannes, c’est un véritable « Festival » de situations rocambolesques riches de couleurs, d’émotion, de poésie et surtout de rires.
Dans une ambiance de café-théâtre, vous allez enfin découvrir l’envers du décor du Festival de Cannes, avec une pléiade de personnages tels que : une diva italienne qui tient à son incognito, des truands à la petite semaine, des anglais « too much », un mari « terrassé » par l’attitude de sa moitié, des midinettes en manque, etc… En guise de cérémonie de clôture, attendez-vous à un feu d’artifice de saison(s) assez inattendu… Rires et fous rires garantis !
Vendredi 10 Novembre à 20 h 30 à la Salle des Fêtes du Croisic
« Un pavé dans la mare » par la troupe du Théâtre AZIMUT
Pièce de cabaret contemporain. Cocktail explosif grâce à un répertoire riche, sur des airs jazzy, rock et blues.2 comédiens jouent sur un rythme endiablé 11 sketches ponctués de chansons inédites. Un spectacle mordant et sans concession, un antidote à la fadeur et à la morosité ambiante. Un spectacle tout public avec des paroles cinglantes et drôles.
Vendredi 17 Novembre à 20 h 30 à la Salle des Fêtes du Croisic
One-woman show « Je m’lâche” par Carole Salmon
La femme racontée  c’est en fait Humour d’une femme qui raconte la femme au travers de ses fantasmes et de la réalité de sa vie quotidienne, ses mots et ses maux ! Les portraits : Une galerie de portraits qui révèle des situations cocasses, acides ou encoure douces et amères. Mais attention, l’homme n’est pas oublié dans cette charge comique, ce qui n’est que justice !
Le rythme du spectacle est trépident, tout s’enchaîne et pourrait ne jamais finir. Rendez-vous pour une histoire qui peut être votre histoire !!
 
Partager cet article
Repost0
20 septembre 2006 3 20 /09 /septembre /2006 09:40

Au gré des chapelles
Deux artistes exposent à la chapelle du Crucifix
Dans le cadre de l’opération « l’art au gré des chapelles » deux artistes originaires des Côtes d’Armor ont confié quelques unes de leurs œuvres marquantes de leur expression picturale, pour la première année de cette série d’expositions Bernard Louedin, peintre, sculpteur et graveur ainsi que Dominique de Serres, « lissière » c’est ainsi que l’on nomme l’artiste tissant les tapisseries, ces deux créateurs offrent tous les jours jusqu’au 1er octobre un échantillon de leurs créations qui se démarquent de ce que l’on peut voir habituellement sur la commune.
L’initiative a de quoi séduire tant par la qualité des œuvres présentées que par le cadre offert par la chapelle, un monument que l’on ne connaît pas assez et dont les origines sont incertaines. La part de rêve est au menu de cette visite qui semble marquer les visiteurs dont certains reviennent pour un deuxième passage encore plus attentif au lieu comme aux chef-d’œuvres qui sont exposés.
Ouverture tous les jours sauf le lundi, de 10 h à 12 h et de 15 h à 19 h l’entrée est libre et gratuite

Partager cet article
Repost0
17 septembre 2006 7 17 /09 /septembre /2006 21:25

PLUMES D'EQUINOXE

LE LIVRE TIENT SALON AU CROISIC POUR LA DIXIEME ANNEE.

dixième anniversaire pour l'une des manifestations culturelles majeures se déroulant sur la commune, le salon PLUMES D'EQUINOXE est désormais bien installé dans le paysage local, ce salon du livre offre une vitrine à de jeunes auteurs comme à des écrivains confirmés et même si les grandes maisons d'édition ne font pas le détour, la petite édition tient ici pignon sur rue et montre ainsi une belle santé.

Nouveaux venus, Gérard SIMON et Anny MAURUSSANNE sont venus défendre leur premier ouvrage écrit à quatre mains tout entier consacré à l'un des musiciens emblématiques de la musique celtique : ALAN STIVELL, celui sans qui rien ne seraiit sans doute arrivé tant sa démarche qui ressemble aussi à une quête a grandement facilité l'éclosion du vaste mouvement et surtout une prise de conscience de la richesse de la culture de tout une région trop longtemps privée de sa libre expression. "C'est le premier livre consacré à Alan depuis les années 70, précise Gérard SIMON, certes il apparaît dans un certain nombre de livres consacré à la renaissance de la musique celtique mais dans notre ouvrage nous retraçons ce que fut son parcours d'artiste unique en son genre et ce qu'il continue aujourd'hui de faire. Son expression novatrice, tolérante et humaniste a largement facilité l'éclosion de tous les artistes d'une même sensibilité" Le livre  ALAN STIVEL, un harper héro, est remarquablement écrit, d'une précision millimétrique, fidèle et sincère dans l'analyse du parcours de l'artiste, c'est à notre sens un livre référence "Mais attention veut préciser Gérard SIMON et Anny Maurussanne, nous ne sommes pas des fans mais plutôt des personnes également touchées par la route qu'a emprunté ALAN , nous nous retrouvons dans sa démarche et nous voulons porter témoignage en apportant avec ce livre une analyse fidèle de ce que peut être la démarche d'un artiste sincère et honnête avec une histoire qu'il partage avec tant de gens"

Autre personnage qui vaut le détour c'est Jac Lelièvre avec ses dessins d'une grande pureté et son humour à géométrie variable, le personnage attire d'emblée la sympathie et son talent est omniprésent sur la carte postale bande dessinée qui évoque les riches heures du rocher de l'Ours, une curiosité croisicaise que beaucoup ont eu l'occasion de voir en se promenant sur la côte sauvage. Jac c'est la simplicité ce qui n'exclut pas quelques questions existencielles maniées avec l'humour qui sied bien.

Autre bonne surprise le stand tenu par la société des amis du Croisic, qui offre un panel intéressant de ses activités au travers du bulletin annuel. Ces ouvrages sont admirablement écrits, informatifs, ils constituent une collection précieuse pour tous ceux qui veulent en savoir plus sur la cité croisicaise sur son histoire comme sur les anecdotes qui ont émaillé la vie de la cité portuaire. Félicitations à l'association pour ses magnifiques cartes et illustrations qui dénotent une approche professionnelle du traitement de l'information.

 Comment ne pas évoquer le TRIANGLE BLANC, seule librairie surle Croisic; ses propriétaire Jean - Eric et Yann occupe une place de choix dans le dispositif culturel croisicais. La sélection des livres proposés à la clientèle est de haut niveau avec une recherche constante de qualité, idem sur le plan musical puisque le Triangle Blanc et l'endroit priviliégié où l'on peut trouver des petits trésors sous forme de CD et de DVD.

Cerise sur le gâteau, le Triangle Blanc est aussi un lieu où sont exposés des peintres et divers artistes tout à la fois talentueux et originaux. Et comme cela ne suffisait pas, Jean Eric et Yann organisent de temps à autres quelques évènements culturels en partenariat avec les services culturels municipaux. Bon vent à eux deux, qu'ils continuent dans cette démarche!

Et puis, il y avait aussi tous les autres, on ne peut les citer tous ici mais qu'ils continuent à être fidèle à ce salon, ils sont les acteurs importants de la diffusion de la culture avec des livres, qu'ils soient produits par des éditeurs reconnus ou qu'ils soient de l'auto- édition, ils sont le témoignage de la richesse culturelle de notre territoire.

Enfin, mention spéciale à l'association du cinéma Le HUBLOT qui lance cette année la première édition du festival "De la page à l'image" une première qui devrait être suivie d'un rendez-vous annuel.

Le But? faire le lien entre l'écrit et le film puisque seront projetés en octobre des films d'auteur inspirés par des ouvrages littéraires. Le festival aura son jury, et nous parions dès aujourd'hui que le succès sera au rendez-vous, rien d'étonnant quand on sait avec quelle passion tous se mobilisent pour faire de ce festival un rendez-vous évènement.

Mention bien pour terminer pour les services culturels de la ville du Croisic, la culture ne rapporte souvent rien sauf à découvrir qu'il y a au Croisic des artistes, des gens qui les aiment et que l'expression artistique, écrite ou picturale est le signe évident d'une société qui avance.

Celà les associations croisicaise l'ont fort bien compris, avec pour n'en citer qu'une les AVF qui se démultiplient pour faciliter l'intégration des nouveaux venus dans le paysage croisicais et qui est un creuset d'idées et d'initiatives propices à l'ouverture des esprits.

Partager cet article
Repost0
11 juillet 2006 2 11 /07 /juillet /2006 05:48

Alan Stivell
Itinéraire d’un harper héro
S’il est un personnage emblématique c’est bien Alan Stivell « sans qui rien ne se serait passé » selon son complice Dan Ar Braz. Que dire sur Stivell tant cet artiste a un destin exceptionnel !  Ce musicien talentueux, conscient et pensant, est parti un jour à la conquête du monde, fort d’une identité celte, et d’une passion énorme pour un instrument dont les notes cristallines expriment la Bretagne mieux que tout autre. Le personnage bien que complexe est attachant, sa personnalité est profonde, on ne peut l'aimer seulement en tant que musicien...aimer Alan Stivell c'est aimer au-delà de son environnement musical, au delà de lui-même ca c'est comprendre et apprécier une culture, un pays, ce qu’il a de fort et de fragile, cela se situe au delà des  idées et des contradictions, aimer Stivell c'est aimer la  vie libre et l'expression forte d'une identité

C’est alors qu’interviennent deux passionnés qui se retrouvent en Stivell, car Stivell leur parle avec des notes avec des mélodies avec des mots. Et voilà que se pose à nouveau la question : Comment peut-on être Breton? et à partir de quand le devient-on? Les deux auteurs ne sont pas à priori Bretons puisque l'une est originaire du Limousin et l'autre est Parisien ! et pourtant ils vont nous démontrer que la  celtitude devient la certitude

Peu à peu, alors qu’ils ignorent tout l’un de l’autre, ils entament une quête intellectuelle et artistique qui inévitablement les réunit un jour pour nous donner ce livre « Alan Stivell, l’itinéraire d’un harper héro » 

C' est sans conteste un modèle du genre. Toujours présents mais aussi discrets les deux auteurs, nous donnent un livre énorme, intéressant, honnête et précis, respectueux de l’artiste. Un livre très bien écrit dans lequel Anny Maurussane et Gérard Simon, ne forment q’une seule et même voix pour narrer le parcours de Stivell.

le style est délié, le vocabulaire riche et élégant, les phrases parfois aériennes, tout forme une sorte de symphonie celtique qui ne peut que ravir le lecteur et l’artiste


Ce livre est à recommander non seulement à celles et ceux qui aiment Alan Stivell et veulent mieux connaître son itinéraire mais aussi à tous les autres, ceux qui aiment les beaux livres traitant de la vérité des choses et des êtres,
car derrière Stivell se révèlent deux écrivains attachants et cultivés qui ont réussi avec ce premier livre à un coup de maître.
Appuyé par des extraits d'articles de presse française et étrangère, ce livre de 272 pages de texte et un carnet de très belles photos et illustrations, est un témoignage, un hommage … une "trace" laissée pour la postérité, et qui met en lumière le parcours artistique et musical,  riche, libre et exemplaire
d'Alan Stivell.

Exhaustif, cet ouvrage est loin de l'être… les auteurs espérant, même, ouvrir une voie où d'autres, plus érudits sur le sujet s'engouffreront pour enrichir l'esquisse de ce portrait, ceci pour votre, notre plus grand bonheur…

Alan Stivell, l’itinéraire d’un harper héro – de Anny Marussane et Gérard Simon aux éditions culture et celtie – disponible au Triangle Blanc au Croisic, sur différents points et par correspondance (aller sur le site www.asharperhero.fr)

 


 Des heures de gloire à la défaite totale
L’histoire des sous-marins allemands à saint Nazaire


Voici le nouvel opus de Luc Brauer, conservateur du musée de la poche de Batz sur mer, écrivain et conférencier, qui explore cette fois l’histoire des sous-marins allemands de la poche de saint Nazaire. C’est le résultat de dix années de recherches patientes, pour un récit émaillé d’anecdotes et richement illustré par des photographies saisissantes et des documents rares. Un ouvrage qui vaut véritablement le détour !


Luc Brauer signe là, un petit chef-d’œuvre qui va ravir les amateurs d’histoire mais aussi les chercheurs ; il fait preuve également d’une belle honnêteté intellectuelle en restituant pour le grand public, l’histoire d’une époque, avec une objectivité totale, les faits marquants mais aussi la petite histoire des U-boote intiment liée à celle du port nazairien, il explique avec force détail les grandes phases de la guerre sous-marine des deux côtés, sans éluder les aspects technologiques et humains.
Plus de 400 photos d’archives (très souvent inédites) appuient un texte ciselé, élégant, informatif. Cet ouvrage est en quelque sorte un monument dans le genre, indispensable pour qui veut comprendre l’histoire et ses développements.
Mieux encore, ce livre vient combler un vide, il met au grand jour une histoire restée secrète ou en tout cas bien mal connue de nos contemporains. Il fait ainsi œuvre utile et permet, en l’expliquant, de percer bien des points obscurs.


« Cette passion pour l’époque et tout ce qui a pu exister, m’a toujours motivé, je cherche à la communiquer de manière objective. Comprendre le passé est à mon sens incontournable pour vivre le présent qui est le nôtre et garantir l’avenir. C’est une démarche liée autant à la connaissance qu’ au devoir de mémoire » c’est aussi cet esprit qui prédomine au Grand Blockhaus de Batz, devenu musée, il bénéficie de donations effectuées par les vétérans de la seconde guerre mondiale qui trouve en ce lieu, la véritable histoire de la poche de saint Nazaire, un témoignage précieux pour les générations futures avant que tous les témoins ne disparaissent.

Ecrivain, éditeur et conférencier Luc Brauer avec son frère Marc, n’ont pas fait que réaliser un rêve de gosses, il ont voulu établir un lien intergénérationnel indéfectible. Sept livres écrits par Luc Brauer, constituent la bibliothèque idéale sur cette époque. Ouvert en 1997, le « Musée de la poche » a été suivi en 2005 par l’ouverture du « Mémorial de la liberté retrouvée » dans la Manche.
Reconnu pour sa qualité d’écriture et son honnêteté de chercheur en histoire, Luc Brauer cultive d’autre projets littéraires pour l’avenir, l’enrichissement régulier des collections exposées au public est également l’une de ses priorités.

Utile : « U-Boote ! Saint – Nazaire, des heures de gloire à la défaite totale » est disponible au Musée du Grand Blockhaus de Batz sur mer, à la base sous-marine de saint Nazaire ainsi que dans les librairies et maisons de la presse du département (25 €) contact : Tel et fax : 02 40 23 88 29 courriel : grand-blockhaus@wanadoo.fr et site : www.grand-blockhaus.com

Partager cet article
Repost0
4 juin 2006 7 04 /06 /juin /2006 05:42

Conférence
Eugène Chapleau, Peintre croisicais


A l’initiative de la Société des Amis du Croisic, Patrick Douault, chargé de mission, donnera une conférence sur la vie et l’œuvre de Eugène Chapleau, l’un des plus grands peintres fresquistes de son époque qui vécu au Croisic de 1932, date de son installation dans l’ancien hospice de la ville où il bâtit son œuvre importante jusqu’à sa mort en 1969.
Eugène Chapleau est né à Paimboeuf le 20 octobre 1882. Après des études à l’école nationale des beaux arts de Paris, il est l’auteur d’innombrables fresques à caractère religieux et profanes dans toute la France.
Il installe son atelier au Croisic dans l’hospice daté du 17ème siècle connu sous le nom « Hospice de l’ange gardien », il y consacrera son temps à la peinture. Ses thèmes favoris, outre les fleurs et son jardin, seront essentiellement des paysages ruraux et marins de la presqu’île guérandaise où ses amis et élèves le conduisent.
En 1996, Simone Potier, ancienne élève et plus tard son épouse lègue à la ville du Croisic environ 750 toiles, 80 esquisses de fresque, 300 peintures, aquarelles ou fusains des peintres des amis du maître. Si l’art de la fresque n’est plus guère exercée aujourd’hui et si la plupart des fresques religieuses ou profanes d’Eugène Chapleau ont disparues, on retrouve ses peintures dans de nombreux pays européens racontant ainsi l’histoire de la presqu’île et de la Bretagne à laquelle il était tant attaché et ce, avec un style si particulier, qui le rapprochait selon ses propres termes, des impressionnistes et des « Fauvistes »
Patrick Douault évoquera à l’aide d’une centaine de diapos et de quelques anecdotes, la vie du peintre, son œuvre et ses influences, il expliquera le rôle essentiel de l’inventaire technique et culturel d’un tel fond.

A l’initiative de , , chargé de mission, donnera une conférence sur la vie et l’œuvre de Eugène Chapleau, l’un des plus grands peintres fresquistes de son époque qui vécu au Croisic de 1932, date de son installation dans l’ancien hospice de la ville où il bâtit son œuvre importante jusqu’à sa mort en 1969. Eugène Chapleau est né à Paimboeuf le 20 octobre 1882. Après des études à l’école nationale des beaux arts de Paris, il est l’auteur d’innombrables fresques à caractère religieux et profanes dans toute la France. Il installe son atelier au Croisic dans l’hospice daté du 17ème siècle connu sous le nom « Hospice de l’ange gardien », il y consacrera son temps à la peinture. Ses thèmes favoris, outre les fleurs et son jardin, seront essentiellement des paysages ruraux et marins de la presqu’île guérandaise où ses amis et élèves le conduisent. En 1996, , ancienne élève et plus tard son épouse lègue à la ville du Croisic environ 750 toiles, 80 esquisses de fresque, 300 peintures, aquarelles ou fusains des peintres des amis du maître. Si l’art de la fresque n’est plus guère exercée aujourd’hui et si la plupart des fresques religieuses ou profanes d’Eugène Chapleau ont disparues, on retrouve ses peintures dans de nombreux pays européens racontant ainsi l’histoire de la presqu’île et de la Bretagne à laquelle il était tant attaché et ce, avec un style si particulier, qui le rapprochait selon ses propres termes, des impressionnistes et des « Fauvistes » Patrick Douault évoquera à l’aide d’une centaine de diapos et de quelques anecdotes, la vie du peintre, son œuvre et ses influences, il expliquera le rôle essentiel de l’inventaire technique et culturel d’un tel fond.

Utile : Conférence sur Eugène Chapleau, sa vie, son œuvre au Foyer municipal (rue de la Duchesse Anne) jeudi 6 juillet 2006 à 21 h. Entrée libre et gratuite. Organisation : Société des Amis du Croisic.
Useful: Conference on Eugene Chapleau, his life, its œuvre with the FOYER municipal (street of the Duchess Anne) Thursday July 6, 2006 to 21 h. free and free Entrée. Organization: OCI2T2 DES Amis du Croisic.
Partager cet article
Repost0